Existe-t-il une forme de légalité pour les squats ?
Pour faire face aux expulsions et voir perdurer leur espace créatif, de plus en plus de squats signent des conventions avec la Maire de Paris. Le département des affaires Culturelles de la ville instaure un statut « d’occupation précaire » qui permet de conserver les friches artistiques. Chaque site se voit proposer des accords spécifiques.
Pourtant, cette solution ne convient pas la majorité des squatteurs, qui craignent que l’on étouffe leur art. Le principe même du squat est l’occupation illégale et la transformation de bâtiments abandonnés.
Dernièrement, c’est La Maison de la plage qui s’est vu offrir le sésame tant controversé.
Les accords proposés sont-ils synonymes de la mort des squats ?
A suivre : Comment La maison de la plage est devenu un squat légal ?
Aurore Fouquet